Le vin neuchâtelois prend sa revanche
Longtemps critiqué, le vin neuchâtelois s'affine de plus en plus. Une nouvelle génération de vignerons se met en place. Avec eux: des idées nouvelles, durables et surtout du vin adapté à ce que les clients recherchent aujourd'hui.
"Avant, certains produisaient et se disaient qu'au pire, ils pourraient boire ce qu'ils n'arrivaient pas à vendre". Cette phrase venant d'un vigneron de la région démontre bien un changement de mentalité. Depuis de nombreuses années, le canton de Neuchâtel développe son offre de vin. Des caves comme celles de Saint-Sébaste à St-Blaise, le Château d'Auvernier, Sandoz & Cie à Neuchâtel ou encore le domaine de Montmollin s'attellent à proposer des meilleures bouteilles.
Parmi les trois breuvages les plus neuchâtelois: le Non-filtré, l’Oeil-de-Perdrix et le Pinot Noir. Ils ont leur goût bien particulier pour plusieurs raisons. La composition du sol, l'altitude, la proximité avec le lac ainsi que la température et les précipitions sont autant de facteurs déterminants pour les cépages. Thierry Grosjean, du Château d'Auvernier n'hésite pas à expérimenter et essayer de trouver de nouveaux assemblages. Patrick Sandoz, de Sandoz & Cie à Neuchâtel est tout aussi aventurier. Le Neuchâtelois dispose de nombreuses parcelles. L'un comme l'autre cherchent à redorer l'image du vin neuchâtelois. Ils représentent la nouvelle génération présente dans le canton.
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