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Hardah lève le voile sur le premier «social browser»

David Delmi, fondateur de Hardah, et Stéphane Schwab, directeur technique Hardah Business.

Bilan: En 2015, vous lanciez Hardah dans la foulée de votre cursus chez HEC Lausanne. Hardah se voulait une interface regroupant de nombreux services utiles en ligne ou sur un ordinateur, afin de faciliter leur accessibilité. Quatre ans plus tard, où en êtes-vous?

Pourquoi avoir pris autant de temps? En quatre ans, Mark Zuckerberg avait transformé Facebook en succès sur le campus de Harvard, puis dans le réseau universitaire américain et déferlait sur le monde…

Et donc ce projet qui a nécessité quatre ans de maturation, quelle est sa nature?

Du quantitatif au qualitatif, dites-vous. En quoi les navigateurs et les réseaux sociaux sont-ils actuellement orientés vers le quantitatif selon vous?

En termes de financement, vous affirmez avoir toujours réussi à assurer la croissance jusqu’à présent via l’autofinancement. Pourquoi ce choix et va-t-il se poursuivre?

Vous évoquiez à l’instant la blockchain. En quoi votre «social browser» va-t-il s’appuyer sur ce type de technologies ?

A travers ce que vous évoquez, est-ce que Hardah One, ou le nouveau nom que vous allez donner à ce produit, vise à remplacer les réseaux sociaux ?

Vous évoquiez la couverture médiatique dont vous avez bénéficié depuis quatre ans. Cependant, il y a eu assez peu d’annonces ces derniers temps sur Hardah…pourquoi ?