50 start-up de Bilan: InvestGlass, Recapp, Fastree 3D
Chaque semaine, Bilan vous propose trois start-up pour investir ou s’inspirer issues de sa sélection 2016.
Pour la quatrième année consécutive, Bilan a dévoilé le 3 février dernier sa sélection de 50 start-up suisses pour investir ou s’inspirer. Avec 131 start-up présélectionnées par la rédaction de Bilan et nos partenaires ( Venturelab / Venture Kick , BioAlps , CleantechAlps , AlpICT , la FONGIT et CIMARK ) contre 97 l’an dernier, le jury d’entrepreneurs et de managers réunis par Bilan a eu une tâche difficile pour parvenir à une sélection 2016 particulièrement relevée.
Composé de Jacques Essinger (CEO de Symetis) et de Laurent Farinelli (CEO de Fasteris) pour leurs expériences dans les sciences de la vie, de Veronica Lange (Head of innovation, global CTO d’UBS) et de Pascal Allot (Regional manager d’IBM) pour les technologies de l’information, d’Abir Oreibi (présidente de LiftConference) et de Dominik Grolimund (CEO de Refind) pour le Web et le mobile, de Raphaël Domjan (écoaventurier) et de Pierre-Alain Graf (ex-CEO de Swissgrid) pour les cleantechs et de Jean-Luc Favre (CEO d’ABB Secheron) et de Fabrice Delaye (journaliste à Bilan) pour l’électronique et la robotique nos jurés dévoilent aussi leurs coups de cœur.
InvestGlass
Montant recherché: 2 millions de francs
Créée en mars 2014, InvestGlass a développé une plateforme web et mobile d’informations financières destinée aux gérants de fortune. Ce robo-advisor est vendu en marque blanche pour des clients comme la Banque Syz. Son intelligence artificielle trie les informations afin de faire remonter celles qui permettent aux gérants de personnaliser leurs conseils à chacun de leurs clients en tenant compte automatiquement d’éléments tels que leurs comportements passés de placement, l’évolution des marchés, mais aussi des règles de compliance.
Contact: Alexandre Gaillard, founders@investglass.com -
Recapp
Montant recherché: 850 000 francs
Les principaux programmes de reconnaissance vocale sont inefficaces pour les langues rares et les dialectes. Sur la base de recherches de l’IDIAP, Recapp a développé un système qui reconnaît les mots sans entraînement préalable, y compris pour ces langues rares. Il les transcrit aussi par écrit. Son application web fonctionne comme un moteur de recherche dans les bases de données audio. Déjà utilisée par le Parlement bilingue valaisan, cette technologie trouve des débouchés dans les médias audiovisuels, les tribunaux, la police et le médical.
Contact: David Imseng, david@recapp.ch
Fastree3D
Montant recherché: 2,5 millions de francs
Spin-off de l’EPFL, Fastree3D a développé une technologie qui remplace l’équipement de télémétrie à 150 000 francs nécessaire pour rendre la Google Car autonome par une puce à 50 francs. Sa microcaméra est doublée d’un flash led ou laser émettant régulièrement quelques photons. La mesure du temps de retour de cette lumière permet d’évaluer précisément la distance jusqu’à 60 mètres, y compris pour des objets se déplaçant rapidement comme les autres voitures. L’entreprise a achevé son démonstrateur et rencontré une soixantaine de sous-traitants et de fabricants automobiles intéressés.
Contact: Claude Florin, claude@fastree3d.com
Jean-Luc Favre recommande cette start-up.
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