Fin 2016, le compte du chauffeur a été désactivé en raison de plaintes à son égard. La Cour a estimé que ce licenciement avec effet immédiat n'était pas justifié - l'intéressé n'a pas eu connaissance des reproches et n'a pas pu y répondre - et a condamné la filiale à lui verser les deux mois de salaire du congé légal, ainsi qu'un préjudice moral et les vacances auxquelles il aurait eu droit, soit près de 18'000 francs en tout.