Les entreprises suisses ont encore un long chemin à parcourir pour avoir plus de femmes à des postes de direction. La majorité des sociétés cotées sur l'indice vedette SMI ne remplissent pas la barre des 20% définie dans la législation et aucune n'est dirigée par une directrice générale. En comparaison internationale, la Confédération est loin de briller en la matière.