Businessman des montagnesNicolas Hale-Woods rêve d’olympisme pour le freeride
Après avoir vendu le Freeride World Tour à la Fédération internationale de ski, le Valaisan d’adoption compte accompagner son sport préféré jusqu’aux Jeux olympiques. Portrait d’un
homme qui surfe la vie comme les vagues et les pentes enneigées.

Nicolas Hale-Wood: «Le freeride est plus associé à une notion de liberté que de cadre officiel, certains m’ont reproché d’avoir vendu mon âme au diable.»
Sedrik Nemeth
Nicolas Hale-Woods est connu comme le loup blanc dans son fief de Verbier où il nous reçoit. «C’est ma grand-mère maternelle Paulette - grande sportive à une époque où peu de femmes l’étaient - qui m’a fait découvrir cette station quand j’étais petit.»