ÉvasionL’horlogerie indépendante gagne aussi le Japon
Malgré la difficulté d’accéder aux fournisseurs et de se former sur place, plusieurs horlogers indépendants tirent leur épingle du jeu. À Tokyo, «Luxe» a rencontré deux d’entre eux.


Aux quatre coins du monde, l’horlogerie indépendante gagne des parts de marché. Le Japon, quatrième pays d’exportation pour l’industrie horlogère suisse, n’échappe pas à la tendance. Malgré la difficulté d’accéder aux fournisseurs et de se former sur place - les deux écoles d’horlogerie au Japon enseignent la réparation et non la création de montres - toujours plus d’initiatives voient le jour, influencées par le succès de pionniers comme Masahiro Kikuno ou Hajime Asaoka.