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Livre en rééditionLa «parenthèse enchantée» des artistes femmes

Adélaïde Labille-Guiard s’auto-portraiturant dans une toile énorme avec deux de ses élèves. C’était en 1785.
L’une des multiples représentations d’Élisabeth Vigée-Lebrun par elle-même. Elle passait pour une remarquable beauté, ce qui ajoutait encore à son succès.
L’autoportrait de Marie-Guillemine Benoist. Sous la Restauration, elle devra cesser d’exposer en public afin de ne pas nuire à la carrière d’un mari haut fonctionnaire. Mais elle n’arrêtera pas de peindre.
Une vue d’atelier à Rome par Hortense Haudecourt-Lescot. L’autoportrait devient minuscule.
Le portrait de son maître Firmin Massot par la Genevoise Amélie Munier Romilly. Elle ne posera jamais son crayon, dans la mesure où elle a surtout dessiné. Son mari pasteur était pourtant à la tête de l’Académie, future université.

«L’Union des femmes peintres et sculpteurs, fondée en 1880 à l’initiative d’une sculptrice, Hélène Bertaux, marque la naissance officielle d’une conscience de groupe chez les plasticiennes.»

Séverine Sofio
La sculpture selon Félicie de Fauveau.
«L’atelier de Madame Vincent», vu par Marie-Gabrielle Capet. Madame Vincent n’est autre qu’Adelaïde Labille-Guiard vingt ans après. Elle avait épousé son collègue Vincent, formant ainsi le premier vrai couple d’artistes.

Pratique