Alimentation «Il ressemble à du thon, il a le goût du thon et, pourtant, il ne contient pas de thon», a annoncé Nestlé, à l’occasion du lancement de son nouveau produit végane. Après les steaks sans viande, le fromage sans lait ou la mayonnaise sans œuf, les offres végétales se multiplient. Avec son thon végétal, la multinationale espère séduire les véganes, ceux qui craignent les métaux lourds ou qui sont sensibles à la cause animale. Certes, la démarche est intéressante, tout comme son potentiel économique. Toutefois, l’industrie agroalimentaire parviendra-t-elle à convaincre les consommateurs sensibles à leur santé et à leur porte-monnaie? Les spécialités industrielles jouissent d’une réputation d’aliments sains. Or, une simple lecture d’étiquettes suffit parfois à casser l’illusion. Pour fabriquer ces produits onéreux, les fabricants ont souvent recours à des ingrédients qui sont loin d’être naturels. Les consommateurs les plus lucides continueront à acheter les produits les moins transformés possible et renonceront au simili thon.
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Non au simili thon
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