CHIFFRES/Ceci est ma millième chronique... ou du moins à peu près

Je ne sais pas si mon compte est bon. Pour ce qui est des articles quotidiens, je suis sûr de mon fait. Pour ceux qui les ont entrelardés, je patauge un un peu. Quand et combien? L'estimation se fait donc à la louche. J'arrive ces jours à la millième chronique postée depuis le 22 mai 2013. Comme elles font en moyenne autour de 5000 signes (espaces compris), je dois donc en avoir envoyer cinq millions. Les blancs entre les mots constituent aussi une manière de s'exprimer...
Quelle impression? A vrai dire, aucune. Les gammes du piano (dont je ne joue pas). La gymnastique du matin (que je ne fais pas). Les rangements du soir (remis parfois au lendemain). Que me reste-t-il en mémoire? Quelques sujets. Le souvenir d'avoir rencontré certaines personnes parfois par envie, parfois aussi par lâcheté. Interroger quelqu’un est quelque part une manière de se défiler soi-même. Pas souvent, heureusement.
Un avenir bien rempli
J'ai essayé de parler un peu de tout, dans un domaine des beaux-arts très élargi. Je n'y suis pas toujours arrivé. L'offre devient trop vaste. Les possibilités sont du coup infinies. Le format de la Toile (presque) se révèle aussi vaste que celui de l'univers. Mais il y a toujours le facteur temps. Tout en prend, des voyages aux visites en passant par l'écriture. Et puis il n'y a pas que ça dans la vie. Et les gens ont d'autres choses à faire que lire dans la leur (de vie, donc).
Je serai par conséquent pour une fois bref. Aucun grand changement à annoncer pour l'avenir. Nous sommes au moment de ce qu'on appelle «la rentrée». Comme si l'on était jamais sorti... Il y aura quelques figures imposées entre deux événements moins courus. Le but de ce blog n'est pas de refaire ce qu les autres font, certes. Mais il y a tout de même les gros morceaux. Ils iront ces prochains jours du Livre sur les quais de Morges au Journées du Patrimoine suisses en passant par l'ouverture du LAC de Lugano et au Japon présenté par le MEG genevois. Puis il y aura Paris et à nouveau l'Italie. Pas moyen de s'ennuyer à ce régime. Le monde moderne ne vous en donne d'ailleurs plus le droit. Marche ou crève. Il vous oblige au dynamisme.
A demain. Je vous parlerai d'un truc qui a commencé depuis longtemps. Petite promenade à Môtiers.