Données Sommes-nous allés trop loin? C’est la question que je me pose quand j’aperçois la mainmise de Facebook sur nos données personnelles. Fallait-il offrir au plus grand «big brother du web» toutes nos photos, nos opinions, nos humeurs, nos amis, notre famille, nos numéros de téléphone, nos adresses, nos centres d’intérêt et j’en passe.
De la folie pure? De l’inconscience, sans doute. Quand on apprend que Facebook traque tout le monde, même ceux qui n’ont pas de compte mais qui ont simplement consulté une seule fois le réseau, ça fait quand même un peu peur. D’apprendre que la «CIA du web» teste une technologie pour détecter les mouvements du curseur, afin de comprendre où le lecteur fait une pause sur la page et d’analyser ce qui a retenu son attention, ça fait quand même froid dans le dos.
Lorsque Facebook vous propose de devenir «ami» avec le professeur de piscine de vos enfants que vous aviez engagé il y a quelques années mais dont vous n’aviez plus aucune nouvelle, juste un numéro resté dans votre portable, c’est assez effrayant…
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Facebook: la CIA du web