Votre navigateur est obsolète. Veuillez le mettre à jour avec la dernière version ou passer à un autre navigateur comme ChromeSafariFirefox ou Edge pour éviter les failles de sécurité et garantir les meilleures performances possibles.

Passer au contenu principal

Va-t-on vider les musées?

Dans le block-buster Black Panther (2018), l’une des scènes voit un ressortissant du Wakanda (pays imaginaire situé en Afrique subsaharienne) réclamer le retour dans son pays des objets exposés au (fictif) Museum of Great Britain.
Acquise en 1873 par le Genevois Gustave Revilliod et installée dans le parc du Musée Ariana, la cloche de Shinagawa a été restituée en 1930 et c’est une réplique, offerte en 1990, qui trône désormais à Genève. (Crédits: Patrick Gillieron Lopreno)

L’Unesco face au trafic

Le buste de Néfertiti, au-delà du débat sur son authenticité, est régulièrement réclamé par les autorités égyptiennes qui voudraient l’exposer au Caire, tandis que les Allemands ont agrandi le Neues Museum de Berlin pour lui. (Crédits: Werner Forman)
Le cratère d’Euphronios, une des plus anciennes œuvres signées par un artiste, avait été exporté frauduleusement d’Italie vers les Etats-Unis via la Suisse. Le Metropolitan Museum en est toujours le propriétaire en titre, mais l’œuvre est en prêt de longue durée en Toscane. Ici, au moment du retour officiel en Italie. (Crédits: Dario Pignatelli)

Combiner science et revendications

Acquis de bonne foi en 1985, ce masque Makondé (volé en 1984) n’était pas concerné par les accords de restitution ratifiés par la Suisse, mais le Musée Barbier-Mueller a décidé de le rendre à la Tanzanie en 2010, à la suite d’un accord avec les autorités de Dar es-Salaam. (Crédits: Philippe Wojazer)

Les solutions juridiques

A la suite d’une visite des descendants du sculpteur, le Musée ethnographique de Genève a pu apprendre de nouveaux éléments sur ses totems amérindiens. (Crédits: Steeve Iuncker Gomez)