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Pixel par Boca do LoboAlors là, on touche à l’extrême, à la chapelle Sixtine du set de bar. Créé par Boca do Lobo, groupe de designers portugais spécialisé dans l’objet exclusif, ce « drink cabinet » est plaqué de 1088 triangles taillés dans dix essences différentes, chacun soit émaillé soit recouvert à la feuille d’or ou d’argent. Posé sur un socle en laiton pour le moins sculptural qui le met à 160 cm de hauteur pour un poids de 130 kilos, tapissé de miroirs à l’intérieur et équipé d’une petite console à tiroir, Pixel est livré chez vous sans cristallerie mais contre 30 000 francs. www.bocadolobo.com
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Bespoke Desktop Bar par Jo SampsonIl a un peu un air de tabernacle, le Bespoke Desktop Bar de la designer londonienne Jo Sampson, car oui Jo est une dame. Sauf qu’à l’intérieur point d’hostie sacrée, mais un nectar qui peut vous donner l’ivresse mystique. A l’extérieur, ce bar de table est serti de carrés de cristal qui s’illuminent grâce à un éclairage led. A l’intérieur, toute la verrerie porte le même motif à carreaux. Disponible en quatre finitions – marbre, acier, cuir bleu façon alligator et palissandre – il est exclusivement vendu chez Harrods à Londres à partir de 48 000 francs. www.josampson.com
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Ino par GiorgettiUne forme douce et arrondie posée sur un piétement en acier bronzé ultralight: le bar du designer Chi Wing Lo pour la maison italienne Giorgetti affiche cette classe contemporaine qui lui permet d’intégrer n’importe quel intérieur d’hier et d’aujourd’hui. Fabriqué en noyer avec deux finitions intérieures à choix (sycomore teinté blanc ou doré à la feuille), le bar Ino est vendu vide au prix de 24 000 francs. www.giorgetti.eu
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P arlons d’un temps que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître. Parlons du set de bar – une carafe remplie d’alcool fort et des verres – qu’on n’aperçoit plus guère que derrière le bureau de Don Draper, le publiciste de la série « Mad Men ». Autant dire à l’époque de la préhistoire lorsque l’inspection du travail n’avait pas encore mis les fumeurs sur le trottoir et vidé dans l’évier les bouteilles de bourbon.
Objet rare, donc de luxe, le voici qui revient par la porte du design. Un accessoire du savoir-vivre complètement vintage dont il ne doit plus y avoir que le patron de « Playboy », Hugh Hefner, à encore s’en servir. Reste à savoir si siroter un whisky dans l’un de ces bars le rend meilleur ? Qu’importe, c’est tellement plus chic.
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