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«Le risque de délocalisation existe»

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L’activité de Debiopharm Group consiste à acquérir et à développer des molécules.
«En Suisse, rien n’encourage les investisseurs à créer de grandes sociétés de capital-risque.»
L’activité de Debiopharm Group consiste à acquérir et à développer des molécules.

Craignez-vous une vague de délocalisations d’entreprises actives dans l’innovation technologique? - -

Comment la Suisse et les cantons romands peuvent-ils agir? - -

C’est-à-dire? - -

La Confédération compte désormais encourager les sociétés innovantes en leur offrant une imposition privilégiée des brevets via la création d’une «patent box». Or ce projet ne vous satisfait pas. Pourquoi? - -

Debiopharm Group pourra rester au régime ordinaire d’impôt si la patent box n’est pas suffisamment attrayante pour ses activités. D’autant que le taux d’imposition des bénéfices aura baissé de 22,8 à 13,8% si le projet de réforme aboutit… - -

Pourquoi restez-vous à Lausanne? - -

Envisagez-vous de délocaliser vos activités? - -

Reste que deux sociétés américaines de biotechnologie ont annoncé récemment leur implantation à Genève. Ne vous montrez-vous pas trop pessimiste pour la Suisse romande? - -

Passons maintenant à vos activités. L’introduction en bourse de Biocartis pourrait vous rapporter plusieurs dizaines de millions de francs. Comment comptez-vous réinvestir cette somme? - -

On dit que vous analysez environ 1000 molécules par an. Combien d’entre elles aboutissent au développement d’un médicament? - -

Depuis une bonne dizaine d’années, l’industrie pharmaceutique souffre d’inefficience. Comment l’expliquez-vous? - -

Cette mutation n’implique-t-elle pas un changement de modèle d’affaires fondé sur la durée très longue d’exploitation d’un brevet? - -

Comment voyez-vous l’évolution de l’industrie pharmaceutique dans les prochaines années? - -

Que voulez-vous dire, alors que les médicaments représentent le cœur de votre métier? - -

De quelle manière? - -