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Petite psychanalyse de la fortune

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«Le rapport à l’argent peut submerger le nouveau riche jusqu’à devenir son seul rapport au monde.»
Patrick Avrane, psychanalyste: «Le rapport que l’on a à l’argent est relativement indépendant de la quantité d’argent que l’on possède».

Quel était votre objectif en approchant la question de l’argent du point de vue de la psychanalyse? - -

Ceux qui ont beaucoup d’argent, une fortune par exemple, entretiennent-ils un rapport différent à l’argent? - -

Vous parlez de codes. Il y a une différence entre la richesse et la fortune? - -

N’y a-t-il pas aussi des différences en fonction de la manière dont on a acquis cette richesse ou cette fortune? - -

Les héritiers consultent-ils plus que les entrepreneurs? - -

Le principal problème de la richesse n’est-il pas les autres? Ce miroir déformé par l’envie et la jalousie qui transforme la vision que l’on a de nous-mêmes? - -

Le secret, le secret bancaire même, n’est-il pas le meilleur moyen de se protéger des envieux? - -

Dans votre livre, vous décrivez plusieurs stéréotypes de rapport à l’argent, l’avare, le flambeur, l’avide, le prodigue… Quelles sont les différences? - -

Lequel est le plus épanoui dans son rapport à l’argent? - -

Et les psychanalystes eux-mêmes? Après tout, l’argent semble central dans la psychanalyse? - -

Du coup la psychanalyse est-elle un moyen de s’enrichir? - -