Dans l'antre du "YouTube Game"
Les créateurs de contenu sont sous pression. Les pratiques se renouvellent sans cesse, si bien qu'ils sont obligés d'opérer avec les aléas du marché. En Suisse, les YouTubers sont peu à pouvoir complètement vivre de leurs chaînes.

YouTuber? Une activité pas si lucrative.
Benjamin Friant, Graphiam et bien d'autres YouTubers suisses ont tous un point commun. Celui d'être dans l'impossibilité de complètement vivre de YouTube, du fait des revenus aléatoires générés régulièrement. Les revenus publicitaires sont faibles pour une chaîne qui n'a pas la taille critique. Quant aux contrats de sponsoring, ils tombent parfois dans les mains des micro-influenceurs.
Les deux Suisses ont notamment animé un stand lors du Royaume du Web. L'événement qui a eu lieu au mois de septembre à Palexpo rassemble les plus grands acteurs du domaine, à l'image de Squeezie, l'homme aux 14 millions d'abonnés.