Pour faire l’interface entre le carbone ou les métaux des prothèses orthopédiques et le reste du corps, on utilise le silicone. Biocompatible, ce dernier reste toutefois difficile à usiner. Sa production est
soit standard soit basée sur des moules produits à la main. Afin de pouvoir accroître la personnalisation de ces interfaces en silicone (seules 10% le sont), MotionTech a développé une technologie de capture d’images en 3D de la partie concernée du corps du patient et un système unique d’impression 3D du silicone. Résultat: une interface personnalisée au prix d’une standard. L’entreprise lève des fonds pour répondre à la demande de ses 50 premiers clients et s’imposer sur un marché de 500 millions par an entre l’Europe et les Etats-Unis.

50 startups
MotionTech
Secteur
Biotech
Canton
Vaud
CHF recherché
800'000
Recommandé par
Jurgi Camblong
Parution
2019